Le CBD est aujourd’hui un produit très en vogue sur le marché, et de nombreuses études scientifiques s’intéressent actuellement à ses vertus. Ce produit, qui est un composant naturel du cannabis, peut interagir avec les neurorécepteurs de notre système endocannabinoïde quand il est consommé, ce qui lui permettrait entre autres de réguler notre humeur, ou de booster notre système immunitaire.
Zoom sur quelques faits scientifiques qui prouvent les nombreux bienfaits du CBD !
Un remède à l’état anxieux et à la dépression
Le premier fait scientifiquement prouvé et relatif au CBD concerne son pouvoir anti-stress. Dans les faits, une étude publiée en 2017 par le Brazilian Journal of Psychiatry s’est intéressée à ce sujet. Par conséquent, elle a évalué le niveau d’anxiété d’un panel de 57 hommes, alors que ces derniers devaient prendre la parole publiquement.
Quelques minutes avant la prise de parole, une certaine partie de ces sujets a reçu un placebo, alors que d’autres se sont vus administrer différentes doses de CBD (respectivement 150,300 ou 600 milligrammes). Les chercheurs ont alors pu observer que les sujets ayant reçu une dose de 300 milligrammes de CBD ressentaient une anxiété beaucoup plus faible que ceux qui avaient pris du placebo.
Un potentiel traitement des symptômes d’épilepsie
Un autre fait scientifique relatif au canabidiol est qu’il se révèle très efficace pour traiter les crises d’épilepsie ! Cette information a d’ailleurs retenu l’attention de la FDA (Food and Drug Administration), qui a validé l’utilisation du CBD pour lutter contre les crises de certaines formes épileptiques au cours de l’année 2018.
Moins de symptômes post-traumatiques
Les chercheurs ont aussi constaté que prendre du CBD s’avérait très utile pour réduire les états de stress post-traumatique. Une étude, publiée dans le Journal Of Alternative and Complementary Medecine en 2018, a d’ailleurs validé cette hypothèse.
Un allié face aux addictions
Un bon nombre d’études scientifiques a démontré que le CBD pouvait servir à combattre les addictions aux opioïdes. En effet, le CBD serait très efficace pour faire baisser certains signaux d’ordre physique, souvent émis par les consommateurs se trouvant dans un état de manque d’héroïne.
Un moyen de soulager les symptômes dus à la maladie de Charcot
Il est encore difficile d’expliquer pourquoi, mais il semblerait que la prise de CBD soit également très efficace pour apaiser les douleurs des patients atteints de la maladie de Charcot. D’ailleurs, les sujets ayant pris part à une étude en 2019 se sont déclarés très satisfaits de l’utilisation du CBD !
Un apaisement de certaines douleurs
Depuis maintenant 15 ans, le Canada utilise parfois des sprays buccaux, qui possèdent un pourcentage équivalent de THC et de CBD, afin de traiter certaines douleurs neuropathiques (notamment chez les patients atteints de sclérose en plaques).
Ces mêmes sprays buccaux sont aussi utilisés pour traiter les douleurs cancéreuses, qui sont insensibles à tous les autres médicaments.
Une prévention du diabète
Des tests effectués sur des cellules humaines ont permis à la communauté scientifique de prouver que le CBD pouvait aussi être très efficace pour faire diminuer les effets induits par des hauts niveaux de glucose sur certaines cellules. En d’autres termes, il éviterait donc au diabète de se développer ! Par ailleurs, il faut noter que d’autres études ont observé que le CBD pouvait soulager les douleurs ressenties par des sujets diabétiques.
Des vertus protégeant des maladies neurologiques
Il a été cliniquement prouvé que le CBD possédait des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Pour les chercheurs, cela prouve que le CBD est en mesure d’apporter une excellente neuroprotection, et qu’il protège le consommateur d’un certain nombre de troubles pathologiques !
Une arthrite moins douloureuse
Pour finir, une étude datant de 2006 a expliqué que le Sativex (un médicament botanique, fait à base de CBD), avait permis des améliorations notables sur la qualité du sommeil et l’intensité des douleurs chez des personnes sujettes à la polyarthrite rhumatoïde.
